
La Gagaouzie est subdivisée en trois districts non-contigus : Comrat, Ceadîr-Lunga et Vulcănești.

Le peuple gagaouze était à l’origine l’un des neuf clans, ou « oğuz », qui peuplait la région de Varna en Bulgarie. Le terme « Gagaouze » provient donc de l’expression « gök oğuz », gök signifiant « bleu » ou « céleste » qui servait à désigner ce clan en particulier.

Le nom de Comrat, chef-lieu de la Gagaouzie, proviendrait en revanche du terme « Kömür at », soit « cheval de charbon ». Un étalon noir apparait aujourd’hui encore sur les armoiries de la ville.

Accrochées aux rétroviseurs des véhicules ou jalonnant le bord des routes, les croix orthodoxes et autres symboles chrétiens frappent le visiteur qui sillonne la Gagaouzie pour la première fois.

On ne sait pas précisément quand ni comment les Gagaouzes se sont convertis de l’islam au christianisme, mais la population est actuellement majoritairement chrétienne orthodoxe. La foi religieuse est également mêlée à d’autres croyances traditionnelles locales.

On ne sait pas précisément quand ni comment les Gagaouzes se sont convertis de l’islam au christianisme, mais la population est actuellement majoritairement chrétienne orthodoxe. La foi religieuse est également mêlée à d’autres croyances traditionnelles locales.

On ne sait pas précisément quand ni comment les Gagaouzes se sont convertis de l’islam au christianisme, mais la population est actuellement majoritairement chrétienne orthodoxe. La foi religieuse est également mêlée à d’autres croyances traditionnelles locales.

On ne sait pas précisément quand ni comment les Gagaouzes se sont convertis de l’islam au christianisme, mais la population est actuellement majoritairement chrétienne orthodoxe. La foi religieuse est également mêlée à d’autres croyances traditionnelles locales.

On ne sait pas précisément quand ni comment les Gagaouzes se sont convertis de l’islam au christianisme, mais la population est actuellement majoritairement chrétienne orthodoxe. La foi religieuse est également mêlée à d’autres croyances traditionnelles locales.

La Gagaouzie est une région extrêmement rurale. On y cultive entre autres du blé, du tournesol, du tabac et du raisin, destiné à la production de vin. Du temps de l’URSS, la Moldavie était destinée à alimenter le reste du pays en fruits et légumes et le pays tout entier a par conséquent été très peu industrialisé.

Aujourd’hui, la Gagaouzie est la région la plus pauvre de Moldavie, elle-même pays le plus pauvre d’Europe. Pour palier à ce problème, l’Union Européenne multiplie les projets d’aide au développement.

En raison de sa proximité ethnico-linguistique, la Turquie y a joué un rôle considérable, notamment en développant les infrastructures hydrauliques. Une librairie turque promouvant des ouvrages de littérature turque et gagaouze a récemment ouvert au cœur de Comrat.

Le sentiment pro-russe est très marqué en Gagaouzie. En 2014, deux référendums en faveur d’un rapprochement avec la Russie tenus dans la région ont été plébiscités par plus de 90% des votants.

Le sentiment pro-russe est très marqué en Gagaouzie. En 2014, deux référendums en faveur d’un rapprochement avec la Russie tenus dans la région ont été plébiscités par plus de 90% des votants.

Au même titre que l'haltérophilie ou la lutte, la boxe est un sport très populaire en Gagaouzie.

L'entraineur du club local m'apprend que l'une des boxeuses du club ne peut pas participer au championnat moldave. Le pays ne compte pas suffisamment de licenciées pour donner lieu à une compétition féminine. Elle peut toutefois participer au championnat roumain.

Pour des raisons historiques, de très nombreux Moldaves possèdent également le passeport roumain.